II. La facon de se souvenir de Dieu
Les miracles ne sont que la traduction du déni en vérité. Si s’aimer soi-même, c’est se guérir soi-même, alors ceux qui sont malades ne s’aiment pas. Par conséquent, ils demandent l’amour qui les guérirait, mais qu’ils se nient à eux-mêmes. S’ils connaissaient la vérité sur eux-mêmes, ils ne pourraient pas être malades. La tâche du…
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